Regards de Russie: 11ème semaine du cinéma russe à Paris
Du 13 au 19 novembre 2013
REGARDS DE RUSSIE : 11è SEMAINE DU CINÉMA RUSSE À PARIS
Une excellente occasion de découvrir de nouveaux films et de rencontrer des réalisateurs russes!
Nouveauté 2013 : la Semaine se déroulera dans 3 salles de cinéma que sont :
L’Arlequin, 76 rue de Rennes, Paris 6è
Le Majestic Passy, 18 rue de Passy, Paris 16è
Le Reflet Medicis, 3/7 rue Champollion, Paris 4è
En VO russe sous-titrée en français
Depuis plus de 10 ans, la Semaine du cinéma russe rassemble des milliers de franciliens passionnés par la Russie. A travers le prisme des réalisateurs, c’est la vie d’un pays qui s’offre aux yeux des spectateurs. Toutes les générations de cinéastes et tous les styles sont représentés du bolckbuster “tout public” jusqu’au film d’auteur le plus intimiste.
UNE ÉDITION 2013 PLACÉE SOUS LE SIGNE DES FEMMES :
Regards et destins de femmes de la Russie d’aujourd’hui, tel est le fil rouge de cette nouvelle édition…
Cette année encore une quinzaine de films inédits seront projetés en présence des réalisateurs ou des membres des équipes de production pour des débats passionnés avec le public.
TARIF:
Tarif unique: 6,5 Euro (5,50 Euro pour les groupes scolaires)
Pass 10 séances: 35 Euro (ne donne pas accès à la séance d’ouverture)
Renseignements: 01 45 44 28 80 – arlequin@lesecransdeparis.fr – www.lesecransdeparis.fr
AU PROGRAMME:
LE GEOGRAPHE A BU SON GLOBE Drame, 2013, 120 min. Réalisateur : Alexandre Vélédinski Distribution : Constantin Khabenski, Elena Liadova, Alexandre Robak, Evguenia Brik, Evguenia Kregjdé, Anna Oukolova, Maxime Lagachkine, Agrippina SteklovaD’après le roman éponyme d’Alexeï Ivanov. À court d’argent, le jeune biologiste Victor Sloujkline accepte un poste de géographe dans une école secondaire. Il « bataille » contre ses élèves, puis il s’en fait des amis ; il entre en conflit contre la responsable pédagogique ; il amène des élèves en randonnée. Il boit du vin avec ses copains, essaie de cohabiter tant bien que mal avec sa femme et amène sa fille à la maternelle. Il vit tout simplement… C’est l’histoire de chaque personne qui, au moins une fois, s’est perdue dans la vie, s’est sentie seule, mais n’a jamais perdu sa faculté de ressentir et d’aimer.Ce film a obtenu le Grand Prix du 24e Festival national « Kinotaure » |
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LA HONTE Drame psychologique, 2013, 90 min. Réalisation : Youssoup Razykov Distibution : Maria Semionova, Elena Korobeïnikova, Helga Fillipova, Larissa Marchalova, Ivan Ryjykov Sujet d’Ekaterina Mavromatis, diplômée des Cours Supérieurs des scénaristes et réalisateurs ; qui a grandi dans une cité militaire. Les nombreux fjords de la péninsule de Kola abritent une petite cité perdue, où vivent les familles de sousmariniers et de garde-frontières. La base militaire est à la veille de sa fermeture et tous ses habitants sont anxieux de connaître leur avenir. Une jeune femme, Lena, arrive dans la cité. Elle vient juste d’épouser le capitaine Komlev. Elle l’a épousé sans l’aimer avec le seul désir de changer sa propre vie. Au cours d’une navigation sans escorte, le sous-marin fait naufrage… Prix FIPRESCI du 48e Festival International du Film de Karlovy vary. |
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LES EPOUSES CELESTES DU PEUPLE MARI Drame, 2012, 106 min.Réalisateur : Alexeï Fedortchenko Distribution : Youlia Aoug, Yana Essipovitch, Vassili Domratchev, Daria Ekamassova, Olga Dobrina, Yana Troïanova, Olga Degtiareva, Alexandre Ivachkevitch, Yana Seksté22 nouvelles sur les femmes du peuple Mari. Chaque nouvelle est une histoire à part avec son propre style. C’est un film-ornement, un film-calendrier sur la philosophie, la mythologie, les traditions et la vie quotidienne du peuple Mari. Le réalisateur parle de son film: « Les Maris de plaine sont un peuple finno-ougrien des plus nombreux et le seul qui continue à pratiquer des prières collectives dans les bois et à vénérer ses prêtres – les kartas… Les fiancées et épouses célestes des Maris de plaine ne sont pas très différentes des femmes terrestres. Parce que l’amour des hommes terrestres les portent jusqu’aux cieux ». Prix du meilleur scénario et du meilleur caméraman 24e Festival national « Kinotaure ». |
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ELLE \ ONA\ Russie, 2013, 98 mn Réalisation : Larissa SADILOVA. La jeune Maïa est venue du Tadjikistan à Moscou trouver le bonheur auprès de son bien-aimé qui lui-même a un statut précaire. Nous voyons la Russie d’aujourd’hui à travers le regard de Maïa. Meilleur film de fiction Festival de cinéma russe ”Une fenêtre sur l’Europe” , Vyborg (Russie), 2013 |
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LE LEGENDAIRE N° 17 Drame sportif, 2013, 134 min.Réalisateur : Nikolaï Lebedev Distribution : Danila Kozlovski, Oleg Menchikov, Svetlana Ivanova, Vladimir Menchov, Roman Madianov, Nina Oussatova, Boris Chtcherbakov, Alejandra Grepi, Daria Ekamassova, Götz Otto, Daniel Olbrychski. Histoire des victoires et des défaites du célèbre hockeyeur Valéry Kharlamov. 2 septembre 1972. Montréal. Au cours du match de la Série du siècle URSS-Canada, l’équipe nationale d’URSS infligea aux professionnels canadiens de la LNH une défaite foudroyante avec un score à 7:3. Plus qu’un match, c’était une bataille pour le pays, une bataille qui bouleversa l’image qu’on avait du hockey dans le monde. Grâce à ses 2 buts, Valéry fut aussitôt porté au sommet de la gloire. Sa persévérance, son talent sportif et le rude apprentissage imposé par le célèbre entraîneur Anatoli Tarassov avaient fait du Numéro 17 une légende du hockey mondial. Prix des Spectateurs, 24e Festival national « Kinotaure ». |
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UNE LONGUE ET HEUREUSE VIE Drame social, 2012, 77 min.Réalisation : Boris Khlebnikov Distribution : Alexandre Yatsenko, Anna Kotova, Vladimir Korobeïnikov, Sergueï Nassedkine, Evgueni Sytyï, Gleb Pouskepalis, Inna Sterligova. Une petite ferme est vouée à la liquidation. Touché par les requêtes des paysans, un jeune investisseur se bat pour préserver la ferme. Le côté romantique de sa lutte le change tant et si bien que, même trahi par ses partisans, il s’obstine à aller jusqu’au bout. Sélection officielle de la 63e Berlinale |
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KOKTEBEL Drame, 2003, 108 min.Réalisation et scénario : Boris Khlebnikov, Alexeï Popogrebski Distribution : Gleb Pouskepalis, Igor Tchernevitch, Evgueni Sytyï, Vera Sandrykina, Vladimir Koutcherenko. Premier long métrage des deux réalisateurs. Un père et son fils se lancent dans un périple de Moscou à Koktebel. Ils marchent à travers les forêts et les champs, bravant la pluie et le vent. Ils rencontrent des gens différents. Les uns les aident, d’autres, armés d’un fusil, les poursuivent… Il y a longtemps, le père avait parlé à son fils d’une montagne d’où on pouvait prendre son envol en planeur et incarner le rêve de l’homme – s’envoler dans le ciel vers la liberté. Prix du jury, Prix FIPRESSI, 25e Festival du film de Moscou ; Prix du jury, 38e Festival du Film de Karlovy Vary. |
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LE JEU DE LA VERITE Comédie, 2013, 90 min. Réalisation : Victor Chamirov Scénario : Victor Chamirov, Gocha Koutsenko, Irina Apeximova, Constantin Youchkevitch, Dimitri Marianov Distribution : G. Koutsenko, I. Apeximova, D.i Marianov, C. YouchkevitchD’après la pièce de l’acteur, réalisateur et scénariste français Philippe Lellouche. 4e long métrage du metteur en scène Victor Chamirov, célèbre pour ses entreprises théâtrales pleines d’esprit. Le spectacle « Le Jeu de la vérité », adapté par Victor Chamirov au contexte russe, est joué sur les scènes de Moscou depuis 2007 et jouit d’un succès invariable auprès du public. Trois copains de fac quadragénaires, se réunissent chez l’un d’eux pour discuter autour d’une bouteille de vodka et évoquer leurs souvenirs de jeunesse. Tout gaillard qu’il est, l’homme d’affaires Marc veut faire venir des filles, mais ses deux amis sont contre. Le concessionnaire automobile Guennadi reste fidèle à sa femme plutôt par habitude, tandis que leur hôte, le physicien malchanceux Anatoli leur prépare une surprise. Il invite la star de leur faculté Maïa dont tous les trois étaient amoureux il y a 20 ans. La conversation languit, jusqu’à ce que commence le jeu de la vérité, un jeu d’une franchise déroutante. Les amis apprennent les uns sur les autres des choses qu’ils auraient sans doute préféré ignorer. |
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CORPS ET BIENS Drame psychologique, 2013, 101 min. Réalisation : Taïssia Igoumentseva Scénario : Alexandra Golovina Distribution : S. Abroskine, M. Vitorgan, E. Sanko, J. Lauciņš, I. Denissova, A.Roud, A. Sergueeva, D.KoulitchkovPremier long-métrage de Taïssia Igoumentseva Sélection officielle du 66e Festival de Cannes. Le film met en scène des habitants d’un petit village ; ce sont des gens modestes et réservés, naïfs et plutôt même farfelus, qui apprennent que la fin du monde est proche. La nouvelle de la future apocalypse rend les personnages méconnaissables : les uns déclarent des sentiments jamais avoués, d’autres révèlent leurs faiblesses, mais en deviennent encore plus forts, d’autres encore trouvent un terrain d’entente avec des gens qu’ils détestaient auparavant. La réalisatrice parle de son film : « J’ai fait ce film pour obliger les gens à réfléchir à leur vie et dire qu’il ne faut pas attendre une catastrophe pour se mettre à respirer à pleins poumons. Aimez et haïssez, ici et maintenant ; laissez tomber vos masques ; appréciez ce monde et les gens qui vous entourent ; communiquez avec les gens ; dites-leur en face ce que vous voulez leur dire ; soyez vous-mêmes ! » |
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JE VEUX AUSSI Drame criminel, 2012, 83 min. Réalisation & Scénario : Alexeï Balabanov Distribution : A. Mossine, O. Garkoucha, Y. Matveev, A. Chytikova, A.Balabanov. Quatorzième et dernier film d’Alexeï Balabanov que le réalisateur a achevé en 2012. Ce film est sa réflexion sur la mort. D’ailleurs, Balabanov fait une apparition à l’écran dans le rôle d’un réalisateur à l’article de la mort. Le film raconte le périple de 5 personnes vers le mystique Clocher du Bonheur qui, selon les rumeurs, se trouverait quelque part entre Saint-Pétersbourg et Uglitch, à proximité d’une centrale nucléaire fermée depuis longtemps. Un musicien, un bandit, son ami Matveï et son vieux père, ainsi qu’une prostituée partent à la recherche de cet endroit mystérieux afin de trouver le bonheur. Mais il s’avère que le Clocher n’«accepte» pas tout le monde, pourtant chacun est persuadé que le Clocher le «choisira». Sélection de la 69e Mostra de Venise. |
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METRO Film catastrophe, 2013, 126 min. Réalisation : Anton Meguerditchev Distribution : Sergueï Pouskepalis, Anatoli Belyi, Anfissa Wistinghausen, Svetlana Khodtchenkova, Ekaterina Chpitsa, Alexeï Bardoukov, Stanislav Doujnikov, Elena Panova, Ivan Makarevitch, Kirill Pletnev, Vladimir Sterjakov D’après le roman éponyme de Dimitri Safonov. Premier film catastrophe russe depuis 25 ans. Des décors uniques en leur genre ont été construits à Moscou pour les besoins du tournage : un tunnel de métro, grandeur nature et d’une longueur de 117 mètres, qui a abrité de véritables wagons de métro ; un bunker souterrain installé dans un réservoir d’eau spécial. Une fissure apparait, entre deux stations, dans un des tunnels du métro. Qui pouvait croire que, suite à un défaut d’étanchéité des structures, le tunnel serait noyé dans les eaux de la Moskova et que des centaines d’usagers seraient en proie à un déluge infernal ? Andreï Garine, médecin d’un hôpital municipal, et sa fille Xénia se trouvent parmi les gens coincés dans le tunnel. Garine fait face à la catastrophe, en essayant de sauver les passagers rescapés, y compris… l’amant de sa femme. Il doit survivre afin de reconquérir son amour, sa famille, et retrouver sa vie si heureuse par le passé. |
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JUDAS Drame, 2013, 108 min. Réalisation : Andreï Bogatyrev Distribution : Alexeï Chevtchenkov, Sergueï Frolov, Andreï BariloAdaptation cinématographique du récit de Léonid Andreev «Judas Iscariote». Judas, voleur invétéré, se retrouve sur la place du marché, lors du prêche de Jésus. Alors que les apôtres font la quête, Judas leur dérobe les fonds, mais est pris sur le fait. Le Maître pardonne Judas et lui propose de devenir son disciple. Bouleversé, Judas décide d’en savoir plus et se joint aux apôtres. Il défend son droit de chercher la vérité, mais se heurte à l’incompréhension générale ; il arrive donc à conclure que l’enseignement du Christ pourrait disparaître sans rien apporter à l’humanité. Alors, il trahit le Christ : «… en tuant l’homme, n’ai-je pas sauvé Dieu?». Prix d’interprétation masculine « St-Georges d’argent » du 35e Festival International du film de Moscou. |
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WEEK-END Film policier psychologique, 2013, 95 min. Réalisation : Stanislav GovoroukhineLe film est tiré du célèbre roman de l’écrivain français Noël Calef « Ascenseur pour l’échafaud », précédemment porté à l’écran par le réalisateur Louis Malle en 1957. L’action se déroule non pas au milieu du XX siècle, à Paris, mais de nos jours, à Moscou. Le personnage principal commet un meurtre et doit faire face à un choix : l’avouer ou endosser un autre crime qu’il n’a pas commis. Film d’ouverture du 24e Festival national « Kinotaure ». |
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Court-mètrage
EN CHEMIN
Comédie, 2012, 32 min.
Réalisation : Taïssia Igoumentseva Scénario : Alexandra Golovina
Distribution : S. Abroskine, A. Roud, S.Podkolzine, V.Gorislavets
Sergueï est vendeur dans une boutique d’objets insolites. Sa vie est pareille à celle de millions de gens… jusqu’à ce que la nuit tombe sur la ville…
La réalisatrice parle de son film : « Notre solitude est dûe à notre propre absence de liberté. Il y a beaucoup de façons de se reprendre, d’essayer de s’imposer et de trouver quelqu’un qui vous ressemble. Moi-même, j’ai vécu ça. « En route vers… » est un film sur l’absence de liberté intérieure et sur la solitude des gens dans une grande ville ».
Documentaires
RUDOLF NOUREEV. LE DEMON REBELLE Documentaire 2012, 98 min. Réalisation : Tatiana Malova Scénario : Vilen Vizilter, Tatiana Malova Images : Sergueï Starikov, Anton Zavileïski, Raphaïl Sarvaev Producteur : Alfia Tchebotariova Produit par : « Svoï potcherk » avec le soutien du Ministère de la culture de la Fédération de Russie Le film est consacré au 75e anniversaire du grand danseur du XX siècle Rudolf Noureev. Il a été tourné à Oufa, Kazan, Moscou, St-Pétersbourg et Paris. En reprenant l’itinéraire de l’artiste, en reconstruisant sa vie à l’écran, les auteurs du film cherchent à découvrir la nature profonde de l’homme plus que de l’artiste. Le grand danseur de ballet classique et moderne Rudolf Noureev a grandi à Oufa, dans une famille pauvre, n’ayant rien à voir avec le monde de la danse. Il ne devait son ascension qu’à lui-même, à son obstination et à son talent. Le 16 juin 1961, au cours d’une tournée à Paris, Noureev qui refusa de revenir en URSS, devint un transfuge. Il avait une nature passionnée, bouillonnante, éprise de liberté, un tempérament explosif qui continue de faire naitre de nombreuses légendes. Sans cela le danseur n’aurait pas pu imposer son talent. Sans son impertinence provocatrice, le style incomparable de la danse de Noureev n’aurait pas existé. |
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LES PREMIERS SUR LA LUNE Pseudo-documentaire (mockumentary), 2005, 75 min. Réalisation : Alexeï Fedortchenko Distribution : Boris Vlassov, Victoria Iliinskaïa, Andreï Ossipov, Anatoli Otradnov, Alexeï Slavnine, Victor Kotov, Nina Kameneva, Alexandre Blinov, Alexeï Anissimov, Polina LitovskaïaPremier film de fiction d’Alexeï Fedortchenko. De nos jours, une équipe de journalistes enquête sur un dossier top secret. Ils tombent sur un véritable scoop : il s’avère que, bien avant la Seconde guerre mondiale, l’URSS aurait été le premier pays à construire un vaisseau spatial pour envoyer des cosmo-pilotes sur la Lune. Prix du meilleur documentaire, programme « Horizons » de la 62e Mostra de Venise. Prix du « Meilleur début » et prix de la Guilde des historiens et critiques de cinéma du 16e Festival national « Kinotaure ». |
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TISHE ! Documentaire, 2002, 80 min. Réalisation : Victor KossakovskiLe réalisateur a tourné son film durant une année depuis la fenêtre de son appartement, à St-Pétersbourg. Il dit à propos de son film : « Silence ! / Tiché ! » a été réalisé selon un principe que j’appelle le « principe du crayon » : vous avez un crayon, donc vous pouvez écrire « Guerre et Paix » ! Lauréat du Festival du cinéma de la CEI et des pays baltes « Kinochoc-2003» |
Dessin animé
MACHA ET L’OURS
Dessin animé, 2009-2013, 60′, à partir de 2 ans
Réalisation : Oleg Kouzovkov, Oleg Oujynov, Denis Tcherviatsov, Gueorgui Orlov, Roman Kozitch, Olga Baoulina
Macha, personnage principal du dessin animé, est doublée par Alina Koukouchkina, 12 ans. Le dessin animé est conçu selon des techniques 3D. Dessin animé pour tous les âges, racontant l’amitié entre un ours, ex-artiste de cirque, et la joviale petite Macha dont les espiègleries troublent rudement la vie de tous les habitants de la forêt. C’est une nouvelle version du conte populaire préféré des enfants russes, dont le sujet et les personnages sont bien connus, alors que leurs caractères et leurs relations ont changé : ce n’est plus Macha qui a peur de l’Ours, mais plutôt lui qui redoute tous les problèmes que la petite fille lui crée. Oleg Kouzovkov a eu l’idée de ce dessin animé pendant des vacances en Crimée : « Sur la plage, il y avait une petite fille qui ne se gênait vraiment pas. Ses parents étaient venus prendre des vacances ; eh bien, elle leur en a fait voir de toutes les couleurs ! ».
GRILLE DES SEANCES
Cinéma «L’Arlequin» | ||
13 novembre, mercredi | 16:30 | «Je veux aussi»-89’ d’A.Balabanov |
13 novembre, mercredi | 20:30 | Film d’ouverture « Le Géographe a bu son globe » -120’ d’A.Vélédinski en présence du réalisateur. Sur invitation uniquement |
14 novembre, jeudi | 14:00 | «Elle»-90’ de L.Sadilova |
14 novembre, jeudi | 16:30 | «Jeu de la vérité »-90’ de V.Chamirov en présence du caméraman S.Yakovlev |
14 novembre, jeudi | 19:00 | «Week-end» -95’ de S.Govoroukhine en présence du réalisateur et de la productrice E.Maskina |
14 novembre, jeudi | 20:30 | Au cinéma “Le Majestic Passy” «Metro»-126′ d’A.Méguerditchev en présence de la comédienne Elena Panova |
14 novembre, jeudi | 21:15 | « Le Géographe a bu son globe » -120’ d’A.Vélédinski en présence du réalisateur |
15 novembre, vendredi | 14:00 | «Judas»-108’ d’A.Bogatyrev |
15 novembre, vendredi | 16:30 | «Koktebel» -108′ de B. Khlebnikov |
15 novembre, vendredi | 19:00 | «La Honte»-90’ de Y.Razykov en présence du producteur V. Malychev |
15 novembre, vendredi | 20:30 | Au cinéma “Le Reflet Médicis” «En Chemin» -32’ «Corps et Biens»- 101’ de T.Igoumentseva en présence de la réalisatrice |
15 novembre, vendredi | 21:15 | « Le Légendaire N°17 » -134’ de. N.Lébédev en présence du producteur L. Verechtchaguine |
16 novembre, samedi | 14:00 | « Macha et l’Ours» 60’, Dessin animé à partir de 2 ans |
16 novembre, samedi | 16:30 | « Je veux aussi » d’A.Balabanov 89’ En présence d’Eugénie Zvonkine, critique de cinéma et enseignant chercheur |
16 novembre, samedi | 19:00 | «Les Epouses célestes du peuple Mari»-106’ d’A.Fédortchenko en présence de la comédienne Daria Ekamasova |
16 novembre, samedi | 21:30 | «Jeu de la vérité » -90’ de V.Chamirov en présence du comédien Constantin Youchkevitch |
17 novembre, dimanche | 14:00 | Rudolf Noureev. Le démon rebelle- 98’ Doc En présence de la productrice A.Tchebotareva |
17 novembre, dimanche | 16:00 | «Le Légendaire N°17 » -134’ de. N.Lébédev |
17 novembre, dimanche | 19:00 | «Judas»-108’ d’A.Bogatyrev en présence du comédien A.Chevtchenkov |
17 novembre, dimanche | 21:30 | « Une Longue et heureuse vie »-77’ de. B.Khlebnikov en présence du comédien A.Yatsenko |
18 novembre, lundi | 14:00 | «La Honte» -90’ de Y.Razykov |
18 novembre, lundi | 16:30 | «Jeu de la vérité » -90’ de V.Chamirov |
18 novembre, lundi | 19:00 | «Elle»-90’ de L.Sadilova en présence de la réalisatrice |
18 novembre, lundi | 21:00 | «Metro»-126′ d’A.Méguerditchev |
19 novembre, mardi | 15:30 | « Le Géographe a bu son globe » -120’ d’A.Vélédinsky |
19 novembre, mardi | 18:00 | Pseudo-documentaire «Les premieres sur la Lune» -75’ d’A.Fédortchenko |
19 novembre, mardi | 19:30 | Documentaire «Tische!» – 80’ de V.Kossakovski |
19 novembre, mardi | 21:30 | «Les Epouses célestes du peuple Mari»-106’ d’A.Fédortchenko |
Télecharger la grille des séances >>
Site officiel de la Semaine: www.cinema-russe-paris.com
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